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Pourquoi investir dans certains produits défiscalisant en 2018 ?
Le 02/05/2018
Pourquoi investir dans certains produits défiscalisants en 2018 ?
Pour les investissements à travers :
- les Fonds Communs de Placement dans l’Innovation (FCPI) ou les Fonds d’Investissement de Proximité (FIP),
- les Groupements Fonciers Forestier (GFF) ou viticoles (GV),
la réduction fiscale est portée à 25 % exceptionnellement cette année (contre 18 % normalement).
Ce type d’investissement relève d’un horizon de placement plutôt long (8 années en moyenne).
Pour les investissements en Monuments Historiques, les travaux déductibles sont pris en compte pour 150 % en investissant en 2018 (au lieu de 100 %) ! Cela nécessite d'avoir 15 ans devant soi mais si l'on est très fortement fiscalisé, il n'y a pas mieux !
Bien sûr, il faut vérifier que ces produits sont adaptés à votre situation, vos objectifs, votre profil.
Tout cela doit être étudié avant de se lancer. Il faut se faire accompagner pour mieux appréhender l’opération ; contactez votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE.
Epargne retraite Madelin et année blanche 2018
Le 28/04/2018
La mise en place du prélèvement à la source va annuler l’impôt dû sur les revenus de 2018 et rendre la carotte fiscale des contrats d’épargne retraite Madelin inopérante. Mais il existe une solution pour contourner cela.
En tant qu’indépendant, vous pouvez déduire de vos bénéfices professionnels, sous réserve que vous releviez d’un régime réel, les cotisations versées sur un contrat d'épargne retraite Madelin. Cette déduction vous permet de réaliser une économie d’impôt sur le revenu d’autant plus importante que vous êtes fortement imposable.
Sauf que… avec l’entrée en vigueur du prélèvement à la source au 1er janvier 2019, et l’annulation de l’impôt à payer sur les revenus courants de 2018, cette carotte fiscale à l’entrée ne jouera pas pour les versements effectués cette année. Est-ce pour autant une bonne raison pour interrompre ou diminuer ses versements ?
A la différence des autres produits d’épargne retraite à souscription individuelle et facultative, les contrats Madelin doivent être alimentés chaque année. Conséquence : si vous arrêtez vos versements, votre contrat est mis en “réduction” et vous ne pourrez plus y verser de nouvelles cotisations et profiter des avantages fiscaux associés à ce contrat. Vous vous exposez aussi à ce que vos déductions des années précédentes soient remises en cause.
En revanche, rien ne s’oppose à ce que vous réduisiez vos versements et que vous ne versiez que la cotisation minimale obligatoire.
Mais attention, cela va se traduire par une hausse de vos bénéfices imposables. Or si vos bénéfices de 2018 sont plus élevés que les bénéfices réalisés au cours des 3 années passées, le fisc va considérer qu’il s’agit d’un revenu exceptionnel, imposable. Vous vous exposez donc à devoir payer un complément d’impôt sur le revenu en septembre 2019, si vous réduisez vos cotisations en 2018. Mais il est possible de neutraliser vos revenus exceptionnels de 2018 avec un produit défiscalisant…que vous pourrez récupérer en capital bien avant la retraite !
«Les Français, l'épargne et la retraite», 16e baromètre
Le 02/04/2018
Les Français sont en grande majorité inquiets pour leur retraite. Malgré tout, ils sont moins d'un tiers à épargner spécifiquement pour leur fin de carrière.
Les Français inquiets pour leur retraite
D'après le 16e baromètre «Les Français, l'épargne et la retraite» du Cercle des Épargnants et de l'institut Ipsos, 73 % des Français se déclarent inquiets pour leur retraite. Ils sont plus de huit sur dix (84 %) à montrer des signes d'inquiétude quant au système de retraite dans sa globalité. On observe également que 83 % des actifs ont peur de manquer d'argent une fois leur carrière arrivée à terme. L'analyse précise, en outre, que 39 % des actifs sont prêts à continuer à travailler même après avoir réuni les conditions de départ à la retraite, afin de compléter leur revenu.
Épargner pour se protéger contre les aléas de la vie
Les Français sont 67 % à épargner par précaution pour l'avenir. Mais ils sont uniquement 29 % à mettre spécifiquement de l'argent de côté pour préparer leur retraite. Par ailleurs, seuls 18 % des actifs épargnent régulièrement en vue de leur retraite et à peine 13 % ont parlé de l'épargne retraite avec un professionnel. Parmi les produits d'épargne privilégiés par les Français, l'assurance-vie arrive en tête, devant le livret A.
La réforme des retraites reste peu connue
Concernant la réforme des retraites envisagée par le gouvernement : seuls 18 % des Français en connaissent précisément le contenu, alors que 28 % n'ont jamais entendu parler de ce projet.
Ne faites pas l'autruche, contactez votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE !
Combien a rapporté votre fonds en Euros ? Et les nôtres ?
Le 21/03/2018
Voici le podium dressé par Quantalys :
Dynamiques
Les deux premières places sont conservées par les fonds euros Sécurité Target Euro et Sécurité Pierre Euro des assureurs Oradea Vie et Suravenir, contrats distribués par votre Conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE !
Suravenir détient désormais deux places du Top 3. En effet, la troisième place est attribuée au fonds euro Suravenir Opportunités, contrat que nous ne distribuons pas.
Voici les performances sur les trois années écoulées, à comparer avec vos propres contrats avant de nous appeler d'urgence !
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2017 |
2016 |
2015 |
Fonds euro Sécurité Target Euro |
Oradéa Vie |
4,05% |
2,4% |
4,95% |
Fonds euro Sécurité Pierre Euro |
Suravenir |
3,4% |
3,6% |
4% |
Fonds euro Suravenir Opportunités |
Suravenir |
2,8% |
3,1% |
3,6% |
Vérifiez votre stratégie immobilière !
Le 13/03/2018
Les nuages qui s’amoncellent en toute discrétion au-dessus de la tête des propriétaires de biens immobiliers pourraient bien en amener certains à repenser leur patrimoine dès à présent.
Le fléchage de l’épargne vers les marchés financiers commencerait-il par la faire sortir de l’immobilier?
I. Certains nus-propriétaires devront commencer à payer l’IFI (mais pas tous…)
Le nouvel impôt sur la fortune immobilière (IFI) remplace l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et ne porte que sur la fortune immobilière. Mais il réserve une première surprise de taille: jusqu’ici, seuls les usufruitiers payaient l’ISF comme s’ils étaient pleins propriétaires. C’était logique, car l’usufruitier d’un bien peut l’utiliser ou le louer. Il a les ressources pour payer l’impôt. Quant aux nus-propriétaires, qui ne perçoivent rien, ils restaient hors du champ de l’ISF.
Lors d’une succession sans testament, l’époux survivant peut opter pour l’usufruit et laisser la nue-propriété aux enfants. En attendant, l’époux survivant utilise ou loue le bien et paie l’ISF. C’est le démembrement légal de la propriété. Mais un démembrement rigoureusement identique peut aussi résulter d’un testament ou d’une donation.
Désormais, lorsque le démembrement résulte de la loi, l’IFI est réparti entre les nus-propriétaires et les usufruitiers en proportion de la valeur de leur part de détention. Lorsqu’il résulte d’une donation ou d’un testament, l’usufruitier continuera à payer seul l’ISF. Allez savoir pourquoi.
Or, beaucoup de propriétaires n’ont pas vu l’intérêt de prévoir un démembrement par testament ou donation puisque la loi offre cette possibilité par voie d’option au moment du décès. Des milliers de nus-propriétaires vont ainsi devoir, dès 2018, déclarer et payer un IFI alors qu’ils étaient totalement hors du champ de l’ancien ISF, même pour des successions anciennes.
La nouvelle règle, pourtant validée par le Conseil constitutionnel, est injuste pour de nombreux nus-propriétaires. Elle peut être terrible en cas de mésentente familiale. Partant du principe qu'il vaut mieux prévenir que guérir, nous vous incitons à rédiger rapidement un testament ou une donation entre époux.
II. Les dettes seront plus difficiles à déduire
Les règles de déductibilité des dettes ont été durcies pour l’IFI. Désormais, les prêts intra-familiaux deviennent difficilement déductibles. Des restrictions parfois redoutables s’appliquent aussi aux prêts in fine.
Pour les patrimoines immobiliers supérieurs à 5 millions d’euros, seule une partie de la dette reste déductible, ce qui va créer un dangereux effet de seuil et donnera lieu à des discussions sans fin sur la valeur réelle du bien en question.
III. La location meublée n’est plus ce qu’elle était
En location meublée, on peut amortir le bien et souvent récupérer la TVA. Ce n’est pas le cas en location non meublée, ce qui a suscité en France un engouement pour la construction et l’achat de résidences de tourisme, résidences pour étudiants, établissements d’accueil pour personnes âgées dépendantes, etc.
Un récent rapport remis au gouvernement préconise d’«aligner le régime de la location meublée sur celui de la location nue». Cette phrase anodine annonce une petite révolution dans la location meublée, de nature à inquiéter les investisseurs. Affaire à suivre.
IV. L’abattement pour durée de détention est menacé
L’abattement pour durée de détention a pour effet une réduction graduelle du montant imposable pouvant aboutir à une exonération totale d’une plus-value immobilière.
Le même rapport récent préconise de remplacer cet abattement par un simple coefficient d’érosion monétaire neutralisant l’inflation. Ce serait la fin des exonérations de plus-values pour les investisseurs patients.
Cette règle peut venir bouleverser l’équilibre financier de certaines opérations patrimoniales puisque certaines plus-values actuellement exonérées ou réduites deviendraient, du jour au lendemain, intégralement imposables au taux pressenti de 36,2% (19% d’impôt sur le revenu + 17,2% de prélèvements sociaux).
C’est une redéfinition radicale de la fiscalité immobilière française qui se prépare. On dit qu’elle pourrait faire l’objet d’une loi dès ce printemps.
De quoi inciter les propriétaires à réagir en examinant très rapidement leurs investissements et leur stratégie immobilière: revendre, vendre à une société familiale, refinancer, faire une donation, un testament, réorganiser la situation locative, notamment, sont autant de pistes à explorer de toute urgence. Cette opération peut être l’occasion d’une planification successorale fiscalement très efficace.
Prélèvement à la source 2018 - Kit fiscal
Le 07/03/2018
L'administration fiscale a mis en ligne un kit pour présenter de façon synthétique les objectifs et les modalités de la réforme du prélèvement à la source (PAS), répondre aux principales questions des collecteurs avec des brochures à destination des chefs d'entreprises, des comptables et des services RH et des documents à mettre à disposition des salariés...
https://www.economie.gouv.fr/prelevement-a-la-source/kit-collecteur
Mais nous restons à votre disposition !
Un placement de 10 à 25 % en 18 mois, cela vous tente ?
Le 15/02/2018
2018 - année blanche : les impôts vont vous verser du 10 à 25 % ; c'est quand même assez sympathique, non ?
Une fois n'est pas coutume, ce sont les impôts qui vont vous verser ce superbe rendement si et seulement si vous investissez dans ce placement (sans risque jusqu'à 10 % et plus risqué au-delà).
C'est vous qui choisissez en fonction de votre appétence au risque.
Envie d'en savoir plus ? Ne tardez pas, les enveloppes sont limitées : Tél. 09 81 48 61 15
Le 13/02/2018
Les SCPI et les OPCI ont respectivement rapporté 4,43 % et 3,98 % en 2017
Les résultats des SCPI et des OPCI sont toujours flatteurs en 2017, selon les derniers chiffres publiés par l'Aspim. Néanmoins, la collecte a été ralentie en cours d'année, une tendance qui s'explique selon Arnaud Dewachter, délégué général de l'Aspim, aussi bien par « une volonté des sociétés de gestion de conserver le contrôle du rythme de la collecte de capitaux par rapport à celui des acquisitions d'immeubles que par l'annonce estivale du gouvernement sur la loi de finances (…) »
SCPI : collecte en hausse et rendement en baisse
Les épargnants ont continué à plébisciter les SCPI en 2017. La collecte affiche encore une fois un niveau record dépassant les 6 milliards d'euros (+15,2 % par rapport à 2016). Avec un petit bémol, la collecte s'est tassée au 2ème semestre par rapport au premier. Les SCPI représentent désormais une capitalisation de plus de 46 milliards d'euros (+18,1% ). Du côté des performances, le taux de rendement poursuit sa baisse tout en restant à un niveau élevé par rapport à d'autres placements. Il atteint 4,43 % en 2017 au lieu de 4,64 % en 2016. Cette diminution s'explique à la fois par la hausse du prix moyen des parts de +1,79 % et par la baisse des distributions de -3,28 %.
OPCI grand public : collecte et rendement en hausse
Pour les OPCI grand public, la hausse de la collecte n'est pas aussi importante que celle des SCPI mais elle progresse tout de même de 5,5 % pour atteindre 4,21 milliards d'euros de souscriptions en 2017, principalement dans le cadre d'un contrat d'assurance-vie. Sur ce produit de placement aussi, le second semestre a été marqué par un net ralentissement de la collecte. La capitalisation des OPCI approche ainsi les 13 milliards d'euros. Au niveau des performances, les OPCI affichent un taux en augmentation passant de 3,23 % en 2016 à 3,98 % en 2017. Ce résultat en progression s'explique par la hausse de la valorisation du patrimoine (+2,4% en 2016 contre 0,8 % en 2016) alors que le rendement courant baisse passant de 2,4 % en 2016 à 1,6 % en 2017.
Communiqué de presse Aspim, Les SCPI et OPCI en 2017, 06/02/2018
Pensez à notre OPCI location meublée et à notre SCPI phare.