Les anniversaires, fêtes, Noël, etc., sont autant d’occasions de gonfler cette tirelire. Et de se dire qu’à sa majorité, ce petit capital servira à financer ses études ou son permis de conduire. Cette solution a l’avantage de la simplicité.
Trois raisons à cela.
La première est une question de rentabilité. En 2020, le livret A rapporte 0,50 % quand les fonds en euros de l'assurance-vie servent le double (net de taxes sociales), pour une garantie identique en capital. Et sur une longue période, le match « livret A versus fonds en euros » tourne sans conteste à l’avantage du second. Le livret Jeunes ? Certes, il rapporte davantage, 1,00 ou 1,25 % dans la plupart des banques, 1,50% chez les mieux-disants, mais il est réservé aux 12-25 ans et est plafonné à 1 600 euros. A utiliser pour gérer l’argent de poche, pas plus.
Un contrat souscrit tôt permet une allocation performante
Second argument qui plaide en faveur de l’ouverture d’un contrat dès le plus jeune âge : l’horizon de placement. L'assurance-vie permet de réaliser un investissement bien plus diversifié et modulable dans le temps que le livret A. Si le placement est ouvert dès le plus jeune âge, on dispose d’un temps assez long pour pouvoir investir en partie sur des fonds en actions, qui sont source de plus de performance sur la durée.
Seule limite pour les parents : rester dans le cadre de l’article 385 du Code civil, donc « apporter dans la gestion des biens du mineur des soins prudents, diligents et avisés, dans le seul intérêt du mineur ». En mixant fonds en euros garanti et supports actions, vous serez dans les clous.
Enfin, troisième avantage, l'assurance-vie n’est pas plafonnée en montant (22 950 euros pour le livret A) ni en nombre de contrats, ce qui en fait un réceptacle adapté pour les sommes rondelettes reçues par donation ou succession.
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L'assurance-vie s’ouvre sans condition d’âge, même si votre enfant n’a que quelques semaines.