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GFV Champagne à partir de 6 000 € - à saisir !

GFV Champagne à partir de 16 800 € - 24 bouteilles par an

Le 20/02/2019

Pour information, nous avons actuellement des GFV sur plusieurs régions viticoles françaises.

Sur la Champagne :

A partir de 16 800 € (correspondant au ticket d'entrée de deux parts), vous recevez un rendement annuel en nature de 24 bouteilles par an.

A consommer avec modération, bien sûr !

Une maison centenaire qualitative - un vin de connaisseurs !

Nous vous rappelons les autres avantages des GFV : outre le fait que vous êtes propriétaire de la terre et que vous allez donc percevoir votre fermage en nature,

Vous êtes exonéré partiellement de l'IFI : pour ¾ de leur valeur jusqu'à 101.897 et pour 50% au-delà.

Et dans les mêmes limites, vos héritiers seront exonérés de droit de donation ou de succession !

Contactez-nous immédiatement au 09 81 48 61 15 ou par mail afin que nous vérifiions ensemble si ce type d'investissement, avec risque de perte en capital et revenus non garantis, correspond à votre situation personnelle et à vos objectifs.

Qu'est-ce que l'ingénierie patrimoniale ?

Le 20/02/2019

L'expert en stratégie patrimoniale AVENIR & SERENITE PATRIMOINE adopte une approche globale en analysant votre situation personnelle, professionnelle, familiale, patrimoniale, fiscale et juridique. De cette étude, émergent des préconisations de solutions financières et immobilières adaptées à votre situation et à vos objectifs patrimoniaux. 

A ce stade, aucune recommandation de solutions produit ne sera faite.

Disposant de l'agrément CJA "Conseil Juridique Approprié", nous pouvons vous donner des conseils patrimoniaux et fiscaux tels qu’un changement de régime matrimonial, la rédaction d’un testament ou la réalisation d’une donation. Ces études ne sauraient se substituer aux recommandations et à l’intervention de vos conseils habituels (notaire, avocat, expert-comptable…).

Nous répondons notamment aux questions suivantes :

Comment détenir, gérer, adapter, restructurer votre patrimoine personnel et/ou professionnel et selon les besoins de votre profession?

Optimiser votre impôt sur le revenu :

  • Optimisation de revenus catégoriels
  • Dispositifs d’exonération totale / partielle d’IR
  • Réduction / crédit d’impôt

Optimiser votre impôt sur la fortune immobilière en France :

  • Dispositifs d’exonération totale ou partielle d’IFI
  • Cas de réduction d’IFI
  • Régularisation des actifs à l’étranger en euros

Restructurer votre patrimoine professionnel :

  • Holding animatrice
  • LBO (Leverage Buy Out), LMBO (Leverage Management Buy Out), OBO (Owner Buy out)
  • Projets professionnels et/ou privés (structuration financière à planifier)

Comment transmettre votre patrimoine personnel et/ou professionnel à vos héritiers et/ou aux tiers et intégrer vos préoccupations ?

Anticipation de la transmission :

  • Etude de la restructuration du patrimoine
  • Optimisation fiscale des droits de donation et de succession
  • Protection du conjoint survivant, protection du concubin
  • Protection des enfants handicapés/incapables
  • Choix du meilleur outil de cession : dons manuels, donations simples, donations trans-générationnelles, pactes adjoints…

Ventes et successions :

  • Éléments substantiels de la vente
  • Optimisation de la fiscalité sur les plus-values en cas de vente (selon la nature)
  • Optimisation de la fiscalité des droits de succession au sein de la famille
  • Remploi des capitaux après le temps de la vente

Envie de bénéficier vous aussi de vrais services experts* ? Contactez votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE !

PERP et Travaux locatifs en 2019

Le 14/02/2019

Avec la mise en place du prélèvement à la source (PAS), en 2019, les revenus courants 2018 vont profiter d’un crédit d’impôt exceptionnel rendant ces revenus non imposables. Dans ce contexte, certains contribuables ont en 2018 interrompu leurs versements sur leur PERP et / ou différé les travaux pilotables de leur immobilier locatif. Un dispositif « anti-abus » a cependant été instauré pour limiter les reports. Voici ce qu’il faut savoir.

PERP : si vous avez interrompu vos versements en 2018, la solution du conjoint

Pour dissuader les contribuables d’interrompre leur PERP en 2018, le législateur a mis en place le dispositif transitoire suivant : concernant les PERP existants en 2017 et sur lesquels les versements 2018 auraient été inférieurs à ceux de 2017 et de 2019, seule la moyenne des versements effectués entre 2018 et 2019 serait déductible.

Prenons un exemple : si vous avez versé 5000 € sur votre PERP en 2017 mais, que vous n’avez effectué aucun versement en 2018, et que vous décidez de verser à nouveau 5000€ en 2019, seule la moyenne de vos versements 2018/2019, soit 2500€ sera déductible de votre revenu 2019. Dans cette hypothèse, si vous cherchez à déduire 100% des primes versées de vos revenus 2019, votre versement 2019 ne doit pas excéder votre versement 2018 !

Autre possibilité : si votre conjoint ou votre partenaire de PACS n’a pas de PERP, il peut en ouvrir un ! Dans ce cas, le dispositif « anti-abus » ne s’appliquera pas : votre foyer fiscal profitera d’une déduction correspondant à 100% des primes versées sur ce PERP en 2019. Votre conjoint ou partenaire de PACS pourra même faire un versement complémentaire correspondant au montant du versement que vous n’avez pas effectué en 2018. En effet, le PERP vous permet de récupérer, sur 3 ans, la quotité fiscale à laquelle vous avez droit et que vous n’avez pas utilisée vous, votre conjoint, ou votre partenaire de PACS.

Si vous effectuez, depuis au moins 2017, des versements sur votre PERP et que vous n’avez ni interrompu, ni diminué vos versements en 2018, votre versement 2019 sera totalement déductible quel que soit son montant ! Dans un tel cas, n’hésitez pas à reverser sur votre PERP.

Enfin, si vous avez ouvert votre PERP en 2018 ou en 2019, la totalité des versements effectués en 2019 sera déductible.

Déficit foncier : il faudra parfois attendre 2020

Avec la mise en place du PAS, les revenus fonciers 2018 vont profiter d’un crédit d’impôt exceptionnel (CIMR) les rendant non imposables.

Afin d’éviter un report massif des travaux de 2018 sur 2019, au risque de pénaliser les métiers du bâtiment, il a été mis en place un dispositif fiscal transitoire. Ce dernier prévoit que le montant des charges pour travaux déduit des revenus fonciers en 2019 sera calculé bien par bien et égal à la moyenne des travaux réalisés en 2018 et en 2019.

Si vous avez fait des travaux en 2018 et que vous ne réalisez pas de travaux en 2019, vous déduirez en 2019, de nouveau 50 % des travaux réalisés en 2018. Inversement, si vous n’avez eu aucune charge pour travaux en 2018, vous ne déduirez que 50% des travaux réalisés en 2019… Enfin, si vous avez entrepris des travaux en 2018 et 2019, vous déduirez la moyenne des travaux réalisés sur les 2 années. Dans cette hypothèse, il est préférable que le montant des travaux 2019 n’excède pas celui de 2018, si vous souhaitez en déduire la totalité

Prenons un exemple

Vous avez effectué des travaux dans votre immobilier locatif pour un montant de 5 000 € en 2018, vous faites à nouveau des travaux pour 12000€ en 2019, vous ne pourrez pas déduire 12000€ en 2019 mais 8500€ soit la moyenne des travaux réalisés entre 2018 et 2019.

Par conséquent, si les travaux envisagés en 2019 n’ont pas de caractère d’urgence, attendez 2020 pour les mettre en œuvre, vous pourrez ainsi les déduire en totalité.

Une exception importante : les biens acquis en 2019 ne sont pas concernés par ce dispositif, vous pouvez donc envisager l’acquisition de biens immobiliers en 2019 et décider d’entreprendre des travaux sans vous soucier de cette restriction fiscale temporaire.

Rendement SCPI 2018

Le 11/02/2019

Les données officielles, collectées par l’ASPIM et l’IEIF, ne seront disponibles que dans quelques jours. Seront alors notamment dévoilés le niveau de la collecte des SCPI et leur taux de distribution moyen en 2018. Ce dernier devrait tourner autour de 4,40%, en léger retrait donc par rapport à 2017 (4,44%).

Un fichier pour contrer les 700 000 conducteurs non assurés en France !

Un fichier pour contrer les 700 000 conducteurs non assurés en France !

Le 09/02/2019

L’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière (ONISR) évalue à 700 000 le nombre d’usagers de la route non assurés en France et relève qu’en 2016, 235 personnes ont perdu la vie dans un accident impliquant un véhicule non assuré. Le Fonds de Garantie des Assurances Obligatoires (FGAO), chargé dans ces circonstances d’indemniser les victimes et leurs ayants droit, déplore une hausse de plus de 40 % des dossiers ouverts entre 2009 et 2017. L’an dernier, 30 000 dossiers ont été instruits pour un montant global des indemnisations versées de 154,2 millions d’euros. Une douloureuse addition que nous supportons tous, puisque chaque assuré participe au financement du FGAO via sa prime d’assurance.


Système performant
Le fichier, qui contiendra uniquement les éléments relatifs au contrat d’assurance (immatriculation du véhicule, nom de l’assureur, numéro du contrat et période de validité), sera géré par l’AGIRA (Association pour la Gestion des Informations sur le Risque en Assurance). Seules les compagnies d’assurance auront la responsabilité de l’actualiser quotidiennement, au rythme des souscriptions et résiliations enregistrées. Pour rendre le système opérationnel, la loi de modernisation de la justice du XXIe siècle du 18 novembre 2016 autorise le croisement du FVA avec le Système d’immatriculation des véhicules (SIV).

Ainsi, toute infraction relevée par un appareil de contrôle automatique (radar, vidéo-verbalisation, etc.) donnera lieu à une verbalisation pour défaut d’assurance (jusqu’à 3 750 euros d’amende, suspension voire annulation du permis de conduire, immobilisation voire confiscation du véhicule), en plus de l’amende pour l’infraction constatée (vitesse, feu, etc.).
À terme, les LAPI (Lecteurs automatiques de plaques d’immatriculation) pourront également croiser leurs données avec celles du FVA.

Enfin, les forces de l’ordre disposent du FVA depuis le 1er janvier 2019, afin de savoir immédiatement si le véhicule contrôlé est assuré ou non.

 

Comment doper votre apport personnel pour votre projet immobilier ?

Le 08/02/2019

Le saviez-vous ? La plupart des banques exigent au moins 10 à 15% d’apport personnel pour acquérir un bien immobilier. Pour vous bâtir ce capital, un effort d’épargne régulier sur plusieurs années est nécessaire. Voici nos conseils.

 

Exit le PEL, place à l’assurance vie

Traditionnellement, le plan d’épargne-logement (PEL) est le produit dédié au projet immobilier. Bonne idée ? Non. Ce produit est sans souplesse – vous ne pourrez pas y retirer votre épargne sans casser le plan – et peu rentable (1% brut actuellement), avec au terme un taux d’emprunt peu intéressant (2,20% actuellement, sur un montant plafonné).

La solution ? Si vous avez planifié votre projet d’achat à plus de trois ans, privilégiez sans hésiter un placement de moyen-long terme pour votre épargne. Le plus efficace est de souscrire puis alimenter un contrat d'assurance-vie, en complément éventuel de votre épargne salariale (PEE, PERCO).

 

Epargnez chaque mois dans votre assurance vie

Ne vous laissez surtout pas rebuter par le jargon ou la fiscalité compliquée de ce placement, mais comprenez vite pourquoi il est adapté à la constitution d’un apport. Tout d’abord, son fonctionnement s’avère très souple. On y verse et retire librement en cas de besoin : un cadre idéal pour mettre en place des versements programmés tous les mois ou trimestres.
Exemple : avec 3% de rendement par an, 200 euros versés chaque mois donneront 21 433 euros de capital au bout de 8 années.

De plus, cette épargne régulière démontrera à votre banquier votre capacité à rembourser un emprunt, un bon point pour négocier votre crédit. Attention toutefois à vous porter vers des contrats sans frais d’entrée pour optimiser la croissance de votre pécule.

Panachez sécurité et prise de risque selon votre horizon

Plus votre horizon d’achat est lointain, plus vous pourrez prendre de risques sur la gestion de votre capital. À moins de 5 ans, il faudra rester prudent, en accordant une place importante au fonds en euros garanti. Au-delà, un panachage avec d’autres supports financiers (actions notamment) sera très probablement payant.

Votre épargne régulière permettra aussi de lisser le prix d’achat des supports financiers, une bonne stratégie quand on investit sur les marchés financiers. Pour vous aider, des gestions pilotées en fonction de votre objectif sont proposées dans la plupart des contrats. A mesure que votre projet d’achat approchera, vous n’aurez plus qu’à sécuriser sur le fonds en €uros la partie plus risquée de votre capital grâce à un arbitrage. Simple et efficace !

N'hésitez pas, demandez conseil sans tarder à votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE, par téléphone au 09 81 48 61 15 ou par mail.

Revalorisation du seuil d’exonération de parts de Groupement Foncier Viticole...

Le 01/02/2019

A tous les investisseurs ou futurs investisseurs de parts de GFV…
 
Le seuil d’exonération de 101.897 € revalorisé à 300.000 € ! En effet, les vignes détenues au travers d’un GFV permettent de diminuer considérablement les droits dus lors d’une donation ou d’une succession : les associés bénéficient d’un abattement de 75 % des droits fiscaux en cas de transmission (donation ou succession), jusque 300.000 € (101.897 euros précédemment) par bénéficiaire, et à hauteur de 50 % au-delà de ce seuil, sans limite de montant. Cet abattement s'applique sur la valeur des actifs viticoles, pas sur la trésorerie. En contrepartie, les parts doivent avoir été détenues 2 ans avant la transmission, puis doivent être conservées au moins 5 ans par les héritiers ou donataires.

Source : Article 793 bis du CGI

Le dividende, amortisseur de performance

Le 28/01/2019

Une étude publiée par Allianz revient sur le rôle joué par les dividendes dans le rendement total d’un placement action. D’après l’édition 2019 de l’étude d’Allianz GI sur les dividendes, les entreprises de l'indice MSCI Europe devraient verser environ 350 milliards d’euros à leurs actionnaires cette année…

On le savait mais c’est bien d’y revenir chiffres en main : le rendement procuré par les dividendes est particulièrement le bienvenu les années de vache maigre. Selon l’étude d’Allianz, les dividendes ont contribué à hauteur d’environ 41% au rendement total des actions européennes depuis 1973.

Il est vrai qu’avec un rendement moyen d’environ 3,8%, les entreprises européennes sont particulièrement généreuses avec leurs actionnaires comparativement à d’autres marchés.

Cette moyenne bien évidemment cache de grandes disparités, tant en termes de secteurs d’activité et de valeurs que de périodes observées. Reste qu’entre 1973 et la fin 2018, le rendement du dividende s'est élevaé à 3,8% en moyenne en Europe, contre 3,2% en Amérique du Nord et 2% en Asie-Pacifique.

Le rapport montre également que le versement de dividendes n’est pas le seul facteur de stabilité des placements en actions. Les actions à dividende élevé semblent afficher une volatilité bien inférieure à celles des entreprises versant moins de dividendes.

En particulier, les actions américaines qui payent des dividendes sont nettement moins volatiles que celles qui n’en payent pas et l'on constate une tendance similaire depuis les années 1990 pour les actions européennes qui versent des dividendes.

Rappelons accessoirement que le dividende est aussi un grand facteur de différenciation entre les indices DAX et CAC 40. En effet ce dernier, à moins de 5.000 points, est hors dividendes (le CAC 40 dividendes réinvestis est lui à plus de 12.000 points) alors que l’indice allemand est lui toujours publié avec dividendes…

Pour accéder à l’étude d’Allianz, cliquez ICI.