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Pourquoi une très bonne mutuelle après 55 ans ?
Le 21/07/2020
Avez-vous mis 3000 euros de côté pour vos dents ?
Car si vous n’avez pas une grosse épargne ou une bonne mutuelle pour vous aider, les frais dentaires peuvent vous ruiner.
En décembre dernier, le magazine Que Choisir a mené une enquête sur 3452 personnes pour connaître le coût des opérations courantes, comme poser une prothèse, une couronne ou un bridge.
Les Français doivent sortir de leur poche en moyenne 2167 euros pour un bridge, 1583 euros pour une prothèse amovible et même 2409 euros pour poser une couronne sur un implant[1].
Une folie, quand on sait qu’à partir de 55 ans, 90 % des personnes portent au moins une prothèse[2]. Et qu’à partir de 65 ans, le nombre moyen de dents à remplacer s’élève à plus 16[3] !
Résultat : près d’un malade sur quatre est obligé de repousser son opération[4]… sans compter tous ceux qui doivent renoncer, faute d’argent.
Parodontite : 4 mois de loyer pour garder vos dents ?
C’est encore pire si on vous diagnostique une maladie grave, comme la parodontite (qui touche une personne sur deux après 65 ans[5]).
Votre dentiste suivra alors un protocole de soin qui dure plusieurs mois et qui peut coûter très cher.
Je ne peux pas vous donner le coût précis du traitement, car cela dépend de la gravité de votre situation (et des prix très variables des praticiens).
Mais voici ce que j’ai trouvé en faisant ma petite enquête :
- Le traitement de la parodontite commence par un curetage. C’est un acte de chirurgie sous anesthésie locale pratiqué pour retirer le tartre présent entre la gencive et la dent. Il faut compter entre 600 et 2000 euros l’intervention (pour environ 4 séances). Le curetage n’est pas remboursé par la Sécurité sociale[6].
- Si cela n’a pas suffi (ou pour les cas plus graves), on vous proposera une nouvelle opération chirurgicale plus complexe : elle consiste à inciser les gencives pour permettre d’accéder aux tissus profonds et d’effectuer un surfaçage des racines. Comptez entre 200 et 400 euros par séance non remboursés (pour environ 4 séances)[7].
- Selon la gravité, d’autres opérations seront prévues : greffes de gencive, ajout d’os synthétique, voire extraction de la dent et pose d’une prothèse. Et là, cela devient tout simplement hors de prix : entre 2000 et 5000 euros pour la procédure complète d’extraction, et jusqu’à 2500 euros pour vous faire poser un implant! Toujours non remboursé par la Sécurité sociale[8]…
Le pire, c’est que quand vous commencez à enchaîner les séances, vous ne savez jamais vraiment jusqu’où vous allez arriver.
Vous pouvez consulter pour un simple contrôle de routine et vous retrouver avec un bridge pour trois dents à 7000 euros[9] !
Vous comprenez donc pourquoi il est crucial d’anticiper.
Le plus grand transfert de richesse de l’histoire
Le 13/07/2020
Tout au long de leur vie, les baby-boomers ont accumulé de la richesse comme personne avant eux. D’ici 30 ans, les baby-boomers auront transmis leur patrimoine aux générations suivantes. Ce transfert, et le partage des actifs qui en découle, n’a rien d’anodin. Comment doit-il être appréhendé?
C’est le transfert de richesse du siècle ! D’ici une vingtaine d’années, une très grande partie de la richesse actuellement possédée par les baby-boomers, les personnes nées entre 1945 et 1964, passera entre les mains des générations suivantes. Cette transmission n’a rien d’anodin. Elle est appréhendée avec sérieux par les familles fortunées.
C’est en effet aux États-Unis et en Europe que s’est principalement créée la richesse au cours des décennies passées. La génération des individus nés après la Deuxième Guerre mondiale, participant à une explosion démographique dans nos contrées, a connu des années particulièrement prospères.
On constate que c’est aux États-Unis et en Europe que se concentre l’essentiel de la richesse mondiale. De manière générale, c’est aussi chez nous que les personnes fortunées sont les plus âgées.
Tout au long de leur vie, les baby-boomers ont accumulé de la richesse comme personne avant eux.
Une richesse colossale
Les estimations sur le montant de ce transfert divergent fortement selon les études. Rien qu’aux États-Unis, l’une d’elles estime que les baby-boomers devraient transférer 30 billions de dollars de richesse aux générations futures au cours des prochaines années. À l’échelle globale, une autre source évoque un montant de 68 billions de dollars. On estime à 15,4 billions de dollars la somme des transferts de fonds mondiaux d’ici 2030, dont 3,2 billions uniquement en Europe. Ces chiffres ne relateraient que les actifs contrôlés par les familles les plus importantes, autrement dit les high net worth individuals, dont la fortune est supérieure à 5 millions d’euros.
Cette transition ne survient pas de manière soudaine. Elle va s’étaler sur les 20 à 30 prochaines années. Les baby-boomers les plus âgés ont aujourd’hui 75 ans, et on peut encore leur souhaiter quelques années de vie heureuse. Les plus jeunes n’ont que 55 ans. En outre, leurs héritiers en ligne directe, à savoir leurs enfants, sont les plus souvent déjà bien installés dans la vie, avec déjà une réelle culture financière. Dès lors, quand vient le moment d’appréhender ce transfert, on parle plus d’évolution que de révolution. Dans beaucoup de cas, cette transmission est déjà à l’œuvre.
Le transfert de la richesse va donc, indéniablement, profiter aux générations suivantes, faisant de celle qui hérite la plus riche que le monde n’ait jamais connue. Souvent, ces héritiers sont déjà millionnaires. Cette transmission ne profite pas encore aux membres de la génération des millennials qui s’apprêtent à se lancer dans la vie active. Mais ceux-ci pourront néanmoins espérer hériter de leurs parents, d’ici quelques années, pour devenir à leur tour les plus riches de l’histoire… pour peu que la richesse familiale n’ait pas été dilapidée entre-temps.
Préserver l’unité du patrimoine
Et c’est tout l’enjeu de cette problématique de transfert pour les plus âgés: s’organiser pour garantir la préservation de ce patrimoine accumulé au fil des années.
En la matière, les enjeux de succession ne sont pas forcément simples à appréhender. Et c’est justement le rôle du conseiller d’aider les familles à mieux envisager la gestion de leur patrimoine au-delà de la succession. Cela implique de l’anticipation, une planification tenant compte de l’ensemble de la famille, une préparation des futurs détenteurs de ce patrimoine.
Les difficultés, dans le cadre de ce transfert générationnel, résident dans la complexité des familles et la diversité des actifs, les uns et les autres étant désormais ancrés sur un large territoire transfrontalier. L’ensemble implique notamment de tenir compte d’éléments légaux et fiscaux, comme les droits de succession, dépendant tantôt du pays de résidence des parents, tantôt de celui des enfants. Pour bien appréhender ces enjeux, il faut donc, le plus souvent, recourir à une boîte à outils qui soit bien étoffée et bien maîtrisée.
Appréhender les actifs dans leur complexité
Quand les actifs sont essentiellement financiers, sous forme d’actions ou d’obligations, la transmission peut être relativement simple. Un des enjeux sera de limiter les droits sur la succession. Dans beaucoup de cas, cependant, il y aura une volonté exprimée par les détenteurs du patrimoine d’inscrire la succession au cœur d’une démarche familiale, de rassembler les membres et de mettre en place une action commune. Cela implique de pouvoir entreprendre, bien avant la succession, une réelle réflexion mobilisant les représentants des diverses branches de la famille et de parvenir à les réunir autour d’une charte ou d’une gouvernance commune.
D’autres actifs sont autrement plus complexes à transmettre, comme une entreprise familiale toujours opérationnelle.
Pour un entrepreneur toujours à la tête d’une activité opérationnelle, cet enjeu de transmission doit prendre en compte de nombreuses problématiques d’ordre fiscal, juridique ou encore civil, comme des situations d’indivision par exemple. Plus qu’un patrimoine, le patriarche sera soucieux de garantir la pérennité de l’entreprise, en cherchant par exemple à en confier les rênes à ses héritiers.
Maintenir un actif opérationnel implique de faire monter les héritiers à bord du projet de société, qu’ils aient à la fois la volonté et la capacité de prendre le relais. À l’échelle d’une famille, cependant, certains vont souhaiter prendre une part active dans la gestion de l’entreprise familiale alors que d’autres non. En matière de succession, en vue d’éviter notamment des complications juridiques, mais aussi des dissensions, il est important de bien identifier les attentes des héritiers et de trouver des solutions, autour d’une gouvernance bien établie, pour que chacun y trouve son compte.
Quand certains désireront prendre une part active au développement de l’entreprise, d’autres se contenteront d’être des actionnaires dormants. Les uns et les autres n’auront pas les mêmes prérogatives et les mêmes attentes. Il est possible aussi que des héritiers ne souhaitent pas prendre part à un tel projet. Il convient alors d’anticiper leur retrait, ce qui peut impliquer des cessions de patrimoine ou la nécessité de trouver des financements, ces actifs étant au final très peu liquides.
Le champ des possibilités est très important. Selon la nature des actifs, l’enjeu sera de mettre en place les bons outils et les bonnes structures permettant de respecter à la fois les volontés du patriarche et les attentes des héritiers. Une telle réflexion s’impose également pour d’autres types d’actifs peu liquides par nature, tels que l’immobilier, par exemple une propriété familiale d’exception ou plusieurs résidences secondaires aux quatre coins de la planète, ou encore une collection d’œuvres d’art.
L’enjeu, pour beaucoup de familles, sera de veiller à conserver une unité sur ce patrimoine tout en anticipant le comportement de la génération suivante vis-à-vis de ces actifs plus ou moins liquides.
Changement d’époque
Quel rapport entretient la génération des héritiers vis-à-vis de la richesse? La manière de la gérer est-elle forcément alignée avec celle de leurs aïeuls? En la matière, la situation peut fortement varier d’une famille à l’autre. Dans le cas d’un entrepreneur qui a créé l’entreprise et l’a fait prospérer, accumulant de la richesse, la dynamique est le plus souvent reconduite à travers la génération suivante. C’est moins souvent le cas à la troisième ou quatrième génération, avec des membres qui se contentent davantage de recueillir le fruit du patrimoine sans forcément prendre part à la démarche entrepreneuriale.
En matière d’investissements, les exigences des nouvelles générations sont sensiblement différentes. Quand ceux qui ont connu la guerre ont avant tout été animés par la volonté de protéger leur patrimoine, leurs enfants ont cherché à le faire prospérer, suivant des logiques de rentabilité et de rendement financier. Aujourd’hui, évoluant dans un monde plus incertain et étant confrontée à des enjeux sociétaux et environnementaux forts, la génération qui va profiter de ce transfert d’argent s’oriente plus volontiers vers des investissements responsables.
Les actifs classiques représentent toujours la part la plus importante du patrimoine. Mais on constate un mouvement, d’une part, vers des investissements plus tangibles, comme le private equity et l’immobilier, et d’autre part vers tout ce qui est susceptible de contribuer à un monde plus durable. Il y a une véritable recherche d’une dimension éthique à travers les investissements voulus par les clients fortunés aujourd’hui.
Ne rien laisser à ses enfants
Certaines personnes jouissant d’un patrimoine constitué à la sueur de leur front ne veulent pas transmettre leurs actifs à leurs enfants. Parce qu’ils les jugent non aptes à gérer une telle fortune, ou encore parce qu’ils souhaitent, d’une manière ou d’une autre, rendre à la société une partie de la richesse accumulée. Une grande partie de cette richesse pourrait être dépensée dans un large éventail de domaines, notamment les vacances, les loisirs, les dépenses quotidiennes, les frais médicaux et les services de santé, avant la succession. Une étude menée par gransnet.com a révélé qu’environ 19% des baby-boomers prévoient de ne laisser aucun héritage à leurs enfants.
Des personnes fortunées pourraient, par exemple, placer une partie de leur fortune au sein d’une fondation et décider de ne transmettre directement à leurs enfants que le nécessaire pour subvenir à leurs besoins.
De nouveaux actifs à aller chercher
À ce titre, il faut regarder où se trouve la richesse aujourd’hui. Or, si l’on regarde les endroits du monde où l’on a généré le plus de richesse ces dix dernières années, on se rend compte que c’est davantage en Asie qu’en Europe. Les États-Unis ont toujours le vent en poupe.Souvent, d’ailleurs, les héritiers développent des activités dans ces zones géographiques porteuse.
Le plus grand transfert de richesse de l’histoire va donc s’opérer en douceur. Les gagnants seront ceux qui parviendront à bien anticiper ces enjeux de succession. Les perdants seront ceux qui ne se seront pas suffisamment préparés. Mieux vaut prévenir…
Et si vous pensiez à votre Multirisque professionnelle ?
Le 02/07/2020
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Campagne : nous soutenons les entreprises françaises !
Le 30/06/2020
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Plus d'assurance auto pour partir en vacances ?
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Est-ce le moment d’acheter des parts de SCPI ?
Le 23/06/2020
Ou est-il préférable d’attendre, d’observer l’évolution de la situation, avant de se positionner ?
On ne peut jamais dire à l’avance si c’est le bon moment… Alors, comment faire ? En fait, en Bourse, on le sait, le seul moyen de gagner de l’argent, c’est d’acheter tous les mois. Parce que quand les actions montent, on en achète moins. Quand elles baissent, on en achète plus. C’est ce qu’il faut faire. Et le miracle de la SCPI, c’est qu’elle permet de faire cela avec l’immobilier. Alors vous pouvez démarrer maintenant un plan de versement mensuel. Ou maintenir celui que vous avez déjà souscrit. Si la crise que certains craignent sur l’immobilier se produit, vous aurez bénéficié, pendant quelques temps, d’achats aux meilleures conditions. Et si elle ne se produit pas, et bien, vous aurez investi dans l’immobilier, pour le long terme, en fractionnant votre investissement, donc votre risque.
Sur la possibilité d’une acquisition « cash » et immédiate, l’important est la qualité de la SCPI. Les petites SCPI vont avoir la possibilité, dans un marché dégradé, de faire des acquisitions dans de bonnes conditions de rendement. Il faut aussi tenir compte de ce que l’on appelle le report à nouveau. Autrement dit, les réserves, qui pourront servir à booster le rendement dans les années à venir. D’autres indicateurs entrent également en ligne de compte. Le niveau de diversification, notamment. Ce principe vaut aussi pour les souscripteurs. Ils ont aussi tout intérêt à se positionner sur plusieurs SCPI, pour diversifier leurs risques.
Il faut aussi regarder le niveau d’endettement de la SCPI. Si celui-ci est trop élevé, et que les actifs sous-jacents subissent des baisses de valorisation importantes, cela peut devenir problématique.
Le« ticket d’entrée » varie d'une SCPI à l'autre, usuellement, il est de 1 000 euros ou de 5 000 euros. Sur certaines SCPI, il est possible d'investir mensuellement sans ticket d'entrée.
La SCPI reste un produit complexe. Même s’il s’agit de l’un des produits d’épargne les plus transparents, de nombreux points doivent être étudiés pour souscrire en toute sérénité. Mon conseil est donc de contacter un conseiller en gestion de patrimoine. Qui sera en mesure de porter un jugement objectif sur la qualité des SCPI dans lesquelles les épargnants envisagent d’investir…
Faut-il ouvrir un nouveau contrat d'assurance-vie ?
Le 20/06/2020
L’assurance vie est un excellent placement de court terme : si l’on vient de toucher un héritage, par exemple, et qu’on souhaite le réinvestir ensuite dans l’achat d’une résidence principale. Le fonds en euros, c’est-à-dire sa composante à capital garanti, qui est le contrat traditionnel, sert un rendement moyen supérieur aux autres placements sans risque, hors anciennes générations de PEL. Les contrats d’assurance vie atteignent leur maturité fiscale au bout de huit ans. Le particulier qui retire alors l’argent voit ses gains exonérés d’impôts, jusqu’à 4 600 euros de retrait par an, et 9 200 euros pour un couple.
Cependant, c’est un bon plan seulement si le contrat est compétitif. Les performances d’un contrat souscrit il y a quelques années sur les conseils d’un banquier sont même souvent médiocres, voire carrément mauvaises. Mieux vaut ouvrir un nouveau contrat d’assurance vie, avec un meilleur rendement, que de retirer l’argent du premier pour bénéficier de l’exonération d’impôt. Les gains du nouveau contrat, qui aura un meilleur rendement, vont compenser le gain envisagé avec l’exonération fiscale de l’autre contrat.
Le nouveau contrat rapporte plus du double
Par exemple, sur des fonds en euros sur lesquels sont investis 100 000 euros pendant trois ans, le rendement a été de 1% en 2019 pour un contrat souscrit il y a six ans, et il sera à 0,8% en 2020, puis 0,7% en 2021 et 0,6% en 2022, en raison de la dynamique baissière sur la rémunération des fonds euros. Pour un second contrat avec la même somme investie, le rendement a été de 2% en 2019, puis il sera de 1,8% en 2020, 1,6% en 2021 et 1,5% en 2022. Résultat, le premier contrat rapportera 1 748 euros nets d’impôts et des prélèvements sociaux au bout de trois ans, contre 3 585 euros pour le second contrat, plus performant mais fiscalisé. L’État récupère 526 euros, mais le souscripteur est gagnant.
Détails du calcul
Les gains du contrat «peu performant» sont obtenus grâce à ce calcul :
Année 1 : 100.000 euros*0,008 (8%) = 800 euros de gains auxquels il faut soustraire les prélèvements sociaux de 17,2%, soit 662 euros.
Année 2 : 100.662*0,007 = 705 >> 583 euros après prélèvements sociaux.
Année 3 : 101.245*0,006 = 608 >> 503 euros après prélèvements sociaux.
Au bout de trois ans, les gains s’élèvent à 1.748 euros (662+583+503). Le contrat datant d’il y a plus de huit ans et les gains étant inférieurs à l’abattement annuel de 4.600 euros, la totalité de l’argent peut être retirée sans payer d’impôts.
Les gains du contrat «performant» sont obtenus grâce à ce calcul :
Année 1 : 100.000 euros*0,018 (1,8%) = 1.800 euros de gains auxquels il faut soustraire les prélèvements sociaux de 17,2%, soit 1.490 euros.
Année 2 : 101.490*0,016 = 1.624 >> 1.344 euros après prélèvements sociaux.
Année 3 : 101.245*0,006 = 1.542 >> 1.277 euros après prélèvements sociaux.
Au bout de trois ans, les gains s’élèvent à 4.111 euros (1.490+1.344+1.277). Cette somme est imposée au taux de 12,8% (prélèvement forfaitaire unique) car le retrait a lieu alors que le contrat a moins de huit ans et a été ouvert après le 27 septembre 2017.
Nets d’impôt les gains atteignent ainsi 3.585 euros.