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La dévalorisation du patrimoine des classes moyennes

Le 17/11/2019

Votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE vous propose aujourd'hui un extrait issu d'une analyse diffusée sur Xerfi Canal. Aujourd'hui, la dévalorisation du patrimoine des classes moyennes

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Le patrimoine privé des classes moyennes est attaqué sur ses trois composantes : immobilière, mobilière (avec l'automobile) et financière. Immobilière d'abord. Dans un pays, où les prix de l'immobilier sont à un pic historique cela a de quoi surprendre.

Certes les prix de l'immobilier montent, mais pas partout. Les tendances haussières à Paris en petite couronne et dans quelques grandes métropoles régionales (Nantes, Rennes, Bordeaux, Lyon par exemple) ne résument pas à elles seules la réalité d'un marché national à trois vitesses : selon les données notariales, 45% des départements ont enregistré une progression des prix des appartements dans l'ancien en 2018, 40% ont connu une baisse et 15% sont restés stables. Bref, la tendance haussière ne concerne même pas la moitié des départements.

En outre, même là où les prix augmentent, ce n'est qu'une moyenne. La carte de France immobilière ressemble à une peau de léopard. Une peau de léopard où les taches brunes représentent les zones les plus tendues où les prix flambent, le plus souvent les grandes agglomérations. Mais il y a aussi les taches blanches, ces zones en perte de vitesse, le plus souvent situées en périphérie. Ces zones, c'est la France pavillonnaire celle des lotissements situés en couronnes péri-urbaines où les prix baissent voire chutent brutalement. Or le poids de la résidence principale dans l'ensemble du patrimoine des classes moyennes est écrasant : c'est nettement plus de la moitié et jusqu'à plus de 70% pour les ménages dont le montant du patrimoine les place entre le 5ème et le 7ème décile.

Plus varié en haut de la pyramide, le patrimoine des plus aisés est plus diversifié faisant tomber la part de la résidence principale à peine plus de 10%. La France des lotissements c'est aussi celle de la voiture. Et pour cause. Aux manques de transports en communs s'ajoutent les conditions d'accès difficiles aux services au sens large (écoles, commerces, services administratifs, médicaux, culturels). L'automobile est dès lors l'outil indispensable pour y accéder et la multi-motorisation une quasi-obligation. Pour les Français les plus modestes la voiture va jusqu'à représenter plus de 20% de leur patrimoine. Pour les classes moyennes c'est un peu moins de 5%. Ce n'est pas négligeable d'autant plus que c'est un patrimoine qui se déprécie d'autant plus rapidement qu'il est essentiellement constitué de véhicules diesels, ceux-là même que le gouvernement et les grandes métropoles veulent chasser du territoire. Le bilan est là, les ventes de diesel d'occasion sont en recul. Selon les chiffres de AAA Data, elles déclinent depuis 2017 et les plus touchées sont les diesels d'occasion de plus de six ans, cœur de cible des classes moyennes avec à la clé de sévères baisses de prix pour des vendeurs contraints pour certains de brader leur véhicule.

De surcroît, face à ce patrimoine mobilier et immobilier qui perd de sa valeur, il y a de l'endettement : plus du quart des ménages dont le patrimoine les situe entre le 4ème et le 5ème décile sont endettés au titre de leur résidence principale, une part qui monte à 42,4% pour ceux qui sont entre le 6ème et 7ème décile. La part des ménages endettés pour l'achat d'automobile est plus faible mais près du quart des ménages situés entre le 6ème et le 7ème décile sont concernés. Reste le patrimoine financier des classes moyennes, constitué à près de 90% des comptes chèques, des livrets défiscalisés et de l'assurance-vie. Si les comptes chèques ne rapportent rien, les autres placements sont également de moins en moins rémunérateurs : de 0,5% pour le Compte d'Epargne Logement à 1,25% pour le Livret d'Epargne Populaire en passant par 0,75% pour le livret A.

En fait seul le LEP se hisse au-dessus de l'inflation. Bref, en termes réels les rendements sont globalement négatifs. L'assurance-vie s'en sort un peu mieux mais la tendance est à la baisse.

Attaqué sur toutes ses composantes, le patrimoine des classes moyennes se déprécie et participe à la montée des mécontentements.

 

Faites le point sur vos actuels droits à la retraite

Le 15/11/2019

Quel sera l'impact de la réfforme des retraites ?

La réforme des retraites actuellement menée par le gouvernement et pilotée par Jean-Paul Delevoye va-t-elle remettre en cause l’ensemble du système actuel ? Impossible de le savoir ! La principale volonté du gouvernement ne fait toutefois pas mystère : créer un système universel pour remplacer les multiples régimes actuellement en vigueur.

Il y aura nécessairement une photographie des droits à la veille de la réforme.

Et ces droits seront alors convertis en euros, avant d’être convertis en points dans le nouveau système.

Donc autant être vigilant avant la réforme !

Même s’il devrait être toujours possible de signaler un oubli une fois la réforme des retraites en vigueur, afin d’éviter un départ en retraite chaotique, à la recherche de justificatifs perdus, faites un point dès à présent.

Vérifiez votre Relevé Individuel et gardez tous vos justificatifs de revenus : dans l’idéal il ne faut rien jeter et numériser l’ensemble.

Victoire d'Apivia sur la Transat Jacques Vabre

Le 12/11/2019

Nous sommes heureux et fiers de vous annoncer la victoire d'Apivia sur la Transat Jacques Vabre en classe Imoca.

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Charlie Dalin et Yann Eliès, à la barre d'un Apivia dont c'était la première course, ont relié Salvador de Bahia au Brésil en  13 jours 12 heures et 8 minutes. 
Un exploit humain et technologique.
L'aventure se poursuit avec en ligne de mire, le Vendée Globe 2020 !
 

 

Oser vivre pleinement avec Apivia, groupe MACIF !

Votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE a référencé APIVIA, groupe MACIF parmi ses partenaires :

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Une gamme complète de produits en santé, prévoyance, IARD et patrimoine en France Métropolitaine, aux Antilles et sur l’Île de la Réunion.

Assurance obsèques : les bons réflexes à adopter

Le 09/11/2019

Les  contrôles  menés  par  l’ACPR  sur  la  distribution  des  contrats  d’assurance obsèques ont permis de constater que les souscripteurs pouvaient mal appréhender les garanties proposées.

L’Autorité rappelle donc les bons réflexes à adopter avant la souscription de tels contrats. L’ACPR estime aussi que la qualité du conseil délivré par les professionnels en matière d’assurance obsèques doit encore progresser.

Il existe une grande diversité de contrats obsèques, qui ne sont pas tous appropriés selon l’âge et les besoins des consommateurs. Avant la souscription d’un tel contrat, une attention particulière doit donc être portée à :

  • La périodicité et la durée de versement des cotisations, compte tenu notamment de l’âge de l’assuré et du montant du capital qu’il souhaite constituer ;
  • La valeur du capital garanti à la souscription, qui peut être inférieure au coût des obsèques le moment venu ;
  • L’ensemble des frais prélevés tout au long de la vie du contrat ;
  • La possibilité et les conditions de rachat des sommes versées ;
  • L’existence d’un délai de carence (en cas de décès de l’assuré avant la fin de ce délai, le capital ne sera pas versé) ;
  • La durée de la couverture : certains contrats ne couvrent l’assuré que si le décès survient avant le terme du contrat. Au-delà, les primes versées sont perdues ;
  • La rédaction de la clause bénéficiaire.

Les professionnels distribuant ces contrats sont soumis à une obligation d’information et un devoir de conseil. Ils sont tenus de recueillir les exigences et besoins du client afin de s’assurer que le contrat envisagé est adapté à sa situation personnelle. N’hésitez donc jamais à poser  des  questions,  demander des précisions ou  des simulations  et à comparer les offres afin de vous engager en toute connaissance de cause.

L’ACPR invite tous les consommateurs à consulter la rubrique « Assurance obsèques » du site internet Assurance-Banque-Épargne Info Service :  https://www.abe-infoservice.fr/


À propos de l’ACPR

Adossée à la Banque de France, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) est l’autorité qui contrôle les secteurs de la banque et de l’assurance et veille à la stabilité financière. L’ACPR est également chargée de la protection de la clientèle des établissements contrôlés et assure la mission de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. Elle est aussi dotée de pouvoirs de résolution. Les services opérationnels de l’ACPR sont regroupés au sein de son Secrétariat général. Visitez leur site  https://acpr.banque-france.fr/

 

GFV SAINT VINCENT

 

Défiscalisation 2023 : Champagne !

Le 05/11/2019

Campagne IR 2023 : et si cette année vous conjuguiez Patrimoine, Fiscalité et Plaisir ?
 
 
 
 
 
Les frimas de l’hiver arrivent, et comme chaque année vous entrez dans la période consacrée à optimiser la fiscalité de votre Impôt sur le Revenu.
Pour répondre à cette attente, nous vous présentons un investissement rare : le foncier viticole Champenois !
 
 
 
Pourquoi investir ?
 
 
 
Patrimoine 
 
 
 
La Foncière a pour stratégie exclusive l’acquisition de vignes de l’appellation Champagne.
 
Cette valorisation repose sur trois moteurs de performance : 
  • l’acquisition de vignes à prix décoté, car achetées occupées,
  • le potentiel de progression du prix de l’hectare lié à la consommation mondiale de Champagne (notamment en Asie)
  • la rareté du foncier Champenois (seul environ 0,5 % du foncier Champenois s’échange chaque année). Il demeure un risque de perte en capital, ce potentiel est basé sur des hypothèses qui pourraient ne pas se réaliser.

Cet investissement répond aussi, bien sûr, à une logique de diversification nécessaire à tout patrimoine.
 
 
 
Fiscalité
 
 
 
L’investissement dans la Foncière permet de bénéficier d'une réduction d'impôt de 25% du montant investi (en contrepartie d’une durée de détention minimale de 5 ans ½ , d’un risque de perte en capital et dans le respect du plafonnement des niches fiscales de 10 000 euros).
L’investissement n’est pas soumis à l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière) sous réserve de détenir moins de 10% de la Foncière.
 
 
 
Plaisir
 
 
 
Au-delà de sa dimension patrimoniale et fiscale, vous pourrez convertir votre dividende (non garanti) en bouteilles de Champagne, conférant ainsi à leur investissement une dimension tangible et plaisir.
 
 
 
 
 

FIP Outre-Mer Inter Invest N°2

Le 31/10/2019

Soutenez le développement de PME françaises ou le secteur de l'innovation tout en optimisant la fiscalité de vos revenus**.

 

  • Le groupe Inter Invest Capital, un spécialiste des PME ultra-marines depuis 1991
  • 9 agences implantées localement et qui investissent dans des PME industrielles et de services
  • Une réduction d'impôt sur le revenu de 38% du montant investi* en contrepartie d'un risque de perte de capital et d'une durée de blocage (plus d'infos)
  • Une durée de blocage de 7 ans prorogeable deux fois 1 an, soit jusqu'au 30 juin 2029 maximum sur décision de la société de gestion

* Sous réserve des évolutions fiscales qui pourraient intervenir ultérieurement à la date d’agrément du FIP Outre mer inter Invest N°2.
Sources : la société de gestion

Plaquette                    Document d'informations clés                          Réglement

Les investisseurs sont invités à prendre en considération les risques liés à l’investissement dans le Fonds (cf ci-après).

Protection des accidents de la vie

Le 29/10/2019

 
Apidays
1 mois remboursé  du 02/11 au 31/12/19
pour toute souscription d'un contrat ACCIDENTS DE LA VIE
 
 
 
Offre valable pour toute souscription d’un contrat d’assurance protection des accidents de la vie par une personne physique majeure entre le 02/11/2019 et le 31/12/2019. Le mois de cotisations gratuit sera exclusivement valable pour la 1re année de souscription du contrat et prendra la forme d’un remboursement d’1 mois de cotisations précédemment prélevées. Le remboursement interviendra après la validation des pièces et du 1er prélèvement (sans rejet).
Apivia Courtage est la marque commune d’Apivia Courtage et Apivia IARD, filiales courtage d’Apivia Mutuelle au sein du groupe Macif, régie par le Livre II du code de la Mutualité, adhérente à la Mutualité Française Siren: 775 709 710 Siège social : 45-49 avenue Jean Moulin, 17034 La Rochelle cedex 1

Le point sur le PER en 5 questions

Le 28/10/2019

Depuis le 1er octobre 2019, le sobrement nommé Plan Épargne Retraite (PER) remplace progressivement les PERP, Préfon, Madelin, Perco et autres produits d’épargne retraite supplémentaire. 

1 – À qui s’adresse le PER ?

À tous les épargnants, quelle que soit leur catégorie socio-professionnelle. Salariés, indépendants, dirigeants d’entreprise, fonctionnaires : tous peuvent prétendre au PER. C’était le fer de lance de ce projet issu de la loi PACTE : proposer un produit unique, facile d’accès et d’utilisation, mais qui puisse surtout s’adapter aux évolutions de la vie professionnelle de l’épargnant. Ce qui n’est pas le cas avec les produits actuels. Plus qu’un simple produit d’épargne, le PER se présente comme une véritable enveloppe fiscale, composée de trois versants :

  • PER individuel (PERIN ou PER-I) qui remplace le PERP (tous professionnels), le contrat Madelin (indépendants) et le Préfon retraite (fonctionnaires) ;
  • PER collectif (PERCOL) qui remplace le PERCO (entreprises) ;
  • PER Catégoriel (PERCAT) qui prend la place de l’Article 83.

Ces trois composantes sont elles-mêmes divisées en trois compartiments, dépendants de la nature des versements :

  • Compartiment 1 : versements volontaires de l’épargnant ;
  • Compartiment 2 : versements issus de l’épargne salariale (participation, intéressement, etc.) ;
  • Compartiment 3 : versements obligatoires du salarié et abondement de l’employeur.

Cette double répartition s’explique par le fait que la nature des versements décide des modalités de sortie et de la fiscalité du plan. Ce qui n’empêche pas le PER d’évoluer avec les changements de vie professionnelle du bénéficiaire.

2 – Quid de mes placements actuels ?

Pas d’inquiétude à avoir ; la fin de commercialisation de ces produits n’est prévue que pour le mois d’octobre 2020. Les titulaires de ces produits peuvent donc continuer à cotiser et à les alimenter jusqu’à cette date. Ils ont également la possibilité de les transférer dès maintenant sur un PER.

La loi Pacte prévoit une portabilité intégrale de l’épargne accumulée sur l’ensemble des contrats d’épargne retraite individuels. Cela signifie que le transfert de produits est ouvert à tout moment, au sein du même gestionnaire ou non.

3 – Vaut-il mieux transférer mes contrats actuels sur un PER ou les garder tel quels ?

Le PER présente de nombreux avantages comparé aux futurs anciens produits d’épargne. On pense évidemment à la sortie en capital (contre seulement 20% du capital avec un PERP par exemple), un argument de poids pour les détenteurs de PERP et de Madelin, qui ont tout intérêt à entamer dès que possible le transfert de leur plan vers un PER.

Néanmoins, il est préférable d'attendre que tous les intervenants aient sorti leur produit, afin de pouvoir les comparer, ce qui est loin d'être le cas.

Enfin, gardez en tête que le transfert d’un produit d’épargne (PERP, Préfon, PERCO, Madelin) vers un PER occasionne des frais si l’ouverture du plan date de moins de 5 ans. Frais qui s’élèvent à 1% maximum du total des sommes placées sur le plan. Pour les autres (ouverts il y a plus de 5 ans), le transfert est gratuit.

4 – Peut-on retirer de l’argent sur un PER ?

C’est sans doute l’un des plus gros freins à l’investissement dans l’épargne-retraite actuelle : l’impossibilité pour l’épargnant de récupérer son capital (sauf cas exceptionnels) avant la liquidation des droits. Si le PERP autorisait la sortie en capital pour l’acquisition de la résidence principale, il fallait attendre l’âge légal de la retraite pour pouvoir débloquer le plan. Un âge auquel bon nombre de particuliers sont d’ores et déjà propriétaires depuis belle lurette…

La réglementation du PER autorise toujours le déblocage anticipé des fonds dans les 5 cas prévus (invalidité, décès du conjoint, surendettement, etc.) mais permettra en plus aux aspirants propriétaires de se servir des sommes placées pour se constituer un apport personnel destiné à financer l’achat de leur bien immobilier.

Mais ce n’est pas tout : le PER prévoit également la possibilité pour les épargnants de choisir ou non la sortie en rente ou en capital : il sera possible de cumuler les deux ! L’idée étant de permettre aux épargnants de reprendre la main sur le placement, tout en prenant garde à la fiscalité à la sortie, qui peut être piégeuse.

5 – Les avantages fiscaux seront-ils maintenus ?

C’est tout l’intérêt des produits d’épargne supplémentaire : pouvoir déduire de son revenu imposable les versements effectués sur ceux-ci. Attention, tous les versements ne sont pas déductibles, et la déduction elle-même est plafonnée (10% des revenus nets d’activité professionnelle avec un maximum de 10% de huit fois le Plafond Annuel de la Sécurité Sociale). Bonne nouvelle de ce côté : les avantages fiscaux sont maintenus avec le PER. Toujours dans la limite des plafonds de déduction. Par ailleurs, dans le cas des PERCOL et des PERCAT, les sommes versées au titre de l’épargne salariale (intéressement, participation, compte épargne-temps, abondement de l’employeur)et les versements obligatoires ne subissent aucune imposition.

Concernant la fiscalité à la sortie, tout dépend de la forme sous laquelle l’épargnant récupère l’argent de son PER :

  • sous forme de rente viagère : la rente est considérée comme une pension de retraite, au même titre qu’une pension de base ou complémentaire. En tant que telle, elle est naturellement assujettie au barème progressif de l’impôt sur le revenu, après abattement de 10 %  plafonné à 3 812 €.
  • en capital : concernant l’imposition lors d’une sortie en capital, il faut distinguer les plus-values, imposées au prélèvement forfaitaire unique (PFU) au taux de 30%, (12,8 d’impôt, 17,2% de prélèvements sociaux) du capital, soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu.

Dans tous les cas, les versements volontaires sur un PERIN ou un PERCOL sont soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu.