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Retraite : les dix erreurs à éviter
Le 31/03/2019
Erreur #1 : « La retraite? J’y penserai plus tard ! »
Plus on commence à épargner tard pour sa retraite, plus la contrainte financière est forte afin d’atteindre un niveau de retraite correct. Préparer sa retraite au plus tôt permet de payer des cotisations plus faibles pour le même résultat, notamment grâce à l’effet des intérêts composés.
Prenons l’exemple de deux copains, Pierre et Paul.
Pierre commence à épargner à 25 ans. Il cotise 100€/mois pendant 40 ans, soit jusqu’à ses 65 ans. À 65 ans, il aura épargné 48.000 € et disposera de 116.000 €.
À 25 ans, Paul choisit de ne pas épargner pour sa retraite pendant 10 ans. Il commence à ses 35 ans et souhaite avoir le même capital que Pierre à 65 ans. Il doit épargner 60.000 € soit 167€/mois pendant 30 ans. Perte : 12.000 €.
En épargnant plus tôt, Pierre a davantage bénéficié de l’effet des intérêts composés.
Erreur #2 : se voiler la face sur ses besoins
« La retraite, je n’y crois pas. ». « Pas besoin de retraite, je serai propriétaire! ». « J’aurais moins de besoins à la retraite ».
Se fier uniquement à la retraitepublique est voué à l’échec : le niveau des retraites diminue. Ce sont des décisions déjà prises. La retraite publique (40% du salaire) ne suffit même pas à entretenir un logement ; quant aux besoins, il suffit de lister les dépenses qu’on ne fera pas à la retraite (essayez, la liste est courte).
Erreur #3 : ne pas profiter des aides de l’Etat
Beaucoup d’épargnants ne bénéficient pas encore des plans retraites subventionnés. A long terme, cela diminue le rendement.
Erreur #4 : abandonner à mi-chemin
L’épargne retraite n’est pas un sprint, mais un marathon. La persévérance est récompensée par une retraite plus élevée et de meilleurs rendements. Il existe de nombreuses solutions afin d’adapter ses versements à sa situation.
Erreur #5 : compter sur son conjoint pour constituer sa retraite
Dans ce cas de figure, les femmes sont statistiquement plus exposées que les hommes. De plus en plus d’hommes ont des carrières incomplètes et donc des retraites amaigries.Et puis, le divorce est de plus en plus demandé par les seniors !:En cas de séparation, le conjoint « au foyer » ou avec le revenu le moins important est dans la grande majorité le plus pénalisé pour sa retraite.Et il est bien souvent trop tard pour rattraper les années de cotisation perdues. Le nombre de divorces pour les couples mariés depuis plus de 25 ans a doublé depuis les années 90.
Erreur #6 : changer de stratégie sans arrêt
Aujourd’hui de l’immobilier, demain de l’assurance-vie, après-demain des actions : celui qui change sa stratégie régulièrement, devra essuyer des pertes financières. A chaque changement, de nouveaux coûts.
Là encore : la retraite est un marathon, pas un sprint. Il est donc essentiel de développer une stratégie qui vous convient et garder assez de flexibilité pour les situations inattendues. Se faire conseiller par un professionnel est indispensable.
Erreur #7 : ne pas couvrir sa force de travail
La meilleurs stratégie retraite n’a aucun intérêt, si on ne peut la tenir à long-terme. Celui qui se retrouve dans l’incapacité de travailler et n’est pas couvert, aura de grandes difficultés à épargner durablement pour la retraite. C'est d'autant plus vrai pour les travailleurs indépendants.
Tout travailleur doit couvrir sa force de travail avec une assurance complémentaire s’il ne veut pas se retrouver exposé à ce risque.
Erreur #8 : sous-estimer son espérance de vie
« Je ne vivrai pas si longtemps » : nombreux sont ceux à penser cela. La fin de ses jours est pourtant impossible à prévoir. Que se passe-t-il si l’on vit jusqu’à 90 ans, et qu‘on a besoin de plus d’argent que prévu ? L’espérance de vie tend à augmenter toujours plus. Une stratégie retraite doit assurer un revenu, peu importe la longévité. Y compris si on ne peut pas s’occuper de gérer son patrimoine (d’immobilier par exemple).
Erreur #9: viser le rendement plutôt que la sécurité
Cela qui vise uniquement le rendement, doit savoir la chose suivante : un bon rendement n’est possible qu’avec un risque élevé.
Dans le pire des cas, l’intégralité de l’épargne constituée peut disparaitre, par exemple suite à un krach boursier.
Il faut donc équilibrer les risques ou investir sur des formes d’épargne retraite plus sécurisantes.
Erreur #10 :je consomme, donc je suis
Afin de maintenir son revenu à la retraite, il faut savoir renoncer à certaines dépenses actuelles. Celui qui dépense tout son argent dans des biens de consommations à court terme, ne devra pas s’étonner de devoir massivement se serrer la ceinture à la retraite.
Votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE se tient à votre disposition pour vous conseiller sur une stratégie retraite adaptée à votre situation spécifique. Contactez-nous par téléphone au 09 81 48 61 15 ou par mail !
Bonus assurance-vie Target+, la Bourse reprend des couleurs
Le 29/03/2019
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Pour en savoir plus, contactez votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE au 09 81 48 61 15 ou par mail.
Assurance vie : ce qui change avec la «transférabilité»
Le 26/03/2019
par Laurent Saillard
LE REVENU - Publié le 25/03/2019 à 10:20 - Mis à jour le 25/03/2019 à 10:20
Des articles de la loi Pacte introduisent plus de souplesse dans la gestion des contrats chez un même assureur et encouragent les compagnies à davantage de transparence sur les rendements.
Toujours en examen au Parlement, la loi Pacte donne lieu à des évolutions sensibles sur l’assurance vie. Même si rien n’est définitif tant que la loi n’est pas adoptée, certaines dispositions, notamment la «transférabilité interne», devraient être retenues en l’état du fait de l’accord explicite entre le gouvernement et la majorité parlementaire.
Après un net rétropédalage par rapport aux propositions audacieuses des sénateurs sur la transférabilité des contrats entre compagnies concurrentes, les députés ont toutefois accepté d’introduire dans l’univers de l’assurance vie une forme de souplesse qui n’existait pas auparavant.Plusieurs amendements ont été votés en ce sens à l’Assemblée nationale le 6 mars. Les députés ont ainsi adopté le principe des transferts, chez le même assureur, entre contrats d’assurance vie, sans perte de l’antériorité fiscale.
Les compagnies devront aussi faire preuve de plus de transparence sur les rendements de tous leurs contrats.«Ces mesures créeront les conditions d’une saine concurrence entre assureurs au bénéfice des assurés», ont souligné dans un communiqué commun Jean-Noël Barrot, Olivia Grégoire et Roland Lescure, tous trois membres de la majorité parlementaire.
1. Les contrats d’assurance vie resteront intransférables d’un assureur à un autre
Les députés ont rejeté la proposition du Sénat de rendre possible le transfert «externe» des contrats d’assurance vie d’une compagnie à une autre. Les sénateurs s’étaient en effet prononcés pour autoriser les détenteurs d’assurance vie à changer d’assureur, sans perdre les avantages fiscaux acquis, pour les contrats d’au moins huit ans.
Le gouvernement et les députés considèrent, eux, que la transférabilité externe complète des contrats créerait trop d’instabilité et un risque de fragilité pour les assureurs, qui doivent offrir des solutions d’investissement pour une épargne gérée dans une perspective de long terme. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, avait exprimé son opposition à cette transférabilité «externe» des contrats, qui risque de créer un «zapping» des épargnants.
Elle pourrait, selon lui, dissuader les assureurs d’investir en actions – placement qui exige un horizon de long terme – et ainsi déstabiliser le financement de l’économie réelle.
Pour capter les souscriptions, les assureurs seraient en outre soumis à un risque de surenchère pour offrir les meilleurs rendements sur les fonds en euros, une spirale concurrentielle préjudiciable en cas de remontée des taux.
La mesure était soutenue par des gestionnaires de patrimoine, dont 500 d’entre eux avaient argué, dans une lettre ouverte publiée le 28 février, du «préjudice fiscal important» dû au caractère non transférable de ce placement, et mis en avant son contrôle, pour 80% des encours, par une dizaine de bancassureurs.
Mais la transférabilité externe suscitait en effet de fortes réticences des assureurs.
Elles ont été confortées par une analyse de l’Institut des actuaires, qui a mis en garde contre un «risque sérieux de diminution des rendements à long terme». Selon les actuaires, la possibilité de transférer les contrats à tout moment et sans aucun préjudice forcerait les organismes d’assurance à adapter leur gestion d’actifs pour pouvoir honorer leurs garanties en capital.
Ceux-ci devraient «maintenir une poche d’actifs suffisamment liquides et adopter une gestion de plus court terme en réduisant leurs placements en actifs de long terme, notamment ceux présentant une volatilité significative et de moindre liquidité tels que les actions, les investissements en infrastructures ou le capital-investissement».
2. Les avoirs seraient transférables «en interne» entre contrats au seinde la même compagnie
Un amendement, présenté par Jean-Noël Barrot, rapporteur thématique de la loi Pacte, Roland Lescure, rapporteur général de cette même loi, et président de la commission des Affaires économiques de l’Assemblée, et Olivia Grégoire, présidente de la commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi, instaure une transférabilité interne des contrats d’assurance vie.
L’objectif est de créer «de la fluidité dans la gestion des contrats d’assurance vie des épargnants» en élargissant le recours aux transferts Fourgous, qui permettent de transférer tout ou partie des sommes du fonds en euros d’un contrat monosupport vers un contrat multisupport au sein d’une même compagnie, tout en conservant l’antériorité fiscale.
À la différence du dispositif Fourgous instauré en 2005, l’amendement adopté le 6 mars ne limite pas les transferts de ce type à un engagement minimum en unités de compte (ou en Eurocroissance), mais les ouvre à tous les contrats, même de multisupports à multisupports.
Comme l’indiquent les auteurs de l’amendement dans son «exposé sommaire», «la solution du présent amendement, combinée à celui sur la transférabilité des contrats d’assurance vie vers l’épargne retraite, paraît être à la fois plus intéressante financièrement pour les épargnants et beaucoup moins porteuse d’effet pervers pour les assureurs» que la proposition plus large portée par les sénateurs.
La portabilité des contrats dans une même compagnie d’assurance constituerait une solution intermédiaire. Elle libérerait en partie les épargnants de la contrainte d’immobilisation de leurs avoirs, sans perte de l’antériorité fiscale, et sans risquer de déstabiliser le secteur.
3. Obligation d’une plus grande transparence sur les rendements des fonds en euros
En outre, la transparence serait accrue sur les rendements de chacun des contrats d’un même assureur, avec une information spécifique aux épargnants ainsi qu’une communication annuelle sur son site Internet. Une mesure qui irait dans le sens des demandes formulées par les associations de consommateurs.
Les obligations d’information relatives aux frais prélevés dans les supports d’assurance vie en unités de compte seraient aussi renforcées. La conjonction de cette mesure avec la précédente (2e point) pourrait avoir un impact sur la grande disparité de rémunération des fonds en euros constatée sur le marché. Les anciens contrats, parfois fermés à la commercialisation, peuvent afficher des rendements annuels autour de 1%, quand les meilleurs avoisinent 2,5% en 2018.
Or des assureurs ont souvent tendance à favoriser le contrat promotionnel mis en avant pour les nouvelles souscriptions, au détriment des anciens. L’épargnant qui constate cette inégalité de traitement, favorable aux nouveaux souscripteurs, et préjudiciable aux anciens, ne dispose en effet actuellement, malgré sa «fidélité» historique au produit de l’assureur, d’aucun moyen de pression pour défendre ses intérêts, en dehors de la clôture définitive de son contrat.
4. Le transfert vers le Plan d’épargne retraite
Les députés ont prévu, sous certaines conditions, de faciliter le transfert d’un contrat d’assurance vie vers un Plan d’épargne retraite, sans conséquence fiscale jusqu’au 1er janvier 2022.
Le Plan d’épargne retraite (PER), prévu par le chapitre IV du projet de loi Pacte, rassemble les dispositifs Perp, Madelin, article 83 et Perco.
La possible sortie en capital à échéance et la sortie anticipée avant la retraite pour l’acquisition de la résidence principale représenteraient de réelles avancées. Mais ce Plan d’épargne retraite ne semble pas en mesure de modifier la hiérarchie des placements. Plus souple et hors succession, l’assurance vie devrait demeurer le principal outil d’épargne retraite.
Le PER devrait toutefois constituer un bon complément pour les épargnants très taxés de plus de 50 ans.
Après l’examen du texte en commission spéciale, la discussion en séance publique s’est ouverte à l’Assemblée le 13 mars, avant deuxième lecture au Sénat et retour pour le vote définitif à l'Assemblée nationale vers le 15 mai.
La loi Pacte devrait être adoptée définitivement au cours du deuxième trimestre 2019.
Le 26/03/2019
L'année fiscale 2019 est marquée par la mise en place depuis le 1er janvier du prélèvement à la source.Voici le calendrier fiscal de l'année.
L'année 2019 n'est pas une année fiscale comme les autres. Depuis le 1er janvier, le prélèvement à la source est entré en vigueur. La réforme, portée par le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin, modifie en profondeur le mode de recouvrement de l'impôt sur le revenu. Le décalage d'une année entre la perception des revenus et le règlement des impôts est supprimé. L'impôt devient contemporain (en partie) à la perception du revenu. Le prélèvement à la source s'applique à tous les revenus d'activité (salaires) et de remplacement (pensions de retraites, allocations chômages, rente viagère à titre gratuit…). Certains revenus ne sont pas prélevés à la source mais font l'objet d'un acompte. C'est le cas des revenus fonciers, des rémunérations de gérants de société ou encore des pensions alimentaires ou prestations compensatoires. En cas de problème sur son taux de prélèvement à la source, d'erreur de son entreprise, il est possible à tout moment de faire des modifications sur le site impots.gouv.fr.
Les principales dates du calendrier fiscal 2019
Impôt sur le revenu
- 10 avril : début des déclarations de revenus 2018 sur Internet
- 16 mai : date limite des déclarations sur papier pour les revenus 2018
- 21 mai : date limite des déclarations par Internet (départements 01 à 19)
- 28 mai : date limite des déclarations par Internet (départements 20 à 49)
- 4 juin : date limite des déclarations par Internet (départements 50 à 974/976)
- 15 juillet : crédits et réductions d'impôts sur les dépenses 2018. Cela correspond au solde (40%) des crédits d'impôts versés par l'administration fiscale au 15 janvier 2019.
Impôts locaux
- 15 octobre : date limite pour payer la taxe foncière (21 octobre sur Internet)
- 15 novembre : date limite pour payer la taxe d'habitation (20 novembre sur Internet)
- 16 décembre : date limite pour payer la taxe d'habitation sur les logements vacants (20 décembre sur Internet)
Promo assurance Protection des accidents de la vie (PAV)
Le 21/03/2019
Le 21/03/2019
Immobilier : ces villes les plus chères… (et les moins chères) en Île-de-France !
- Publié par Figaro Immo
- Le
Si les taux immobiliers atteignent de nouveaux records, les prix poursuivent leur remontée dans les grandes villes. Et en Île-de-France, le prix moyen au m² fait le grand écart : de 1 140 euros/m² à 9 630 euros/m² !
Sommaire
- Des taux de crédit immobilier qui enregistrent des records à la baisse
- Les taux immobiliers devraient rester bas au moins jusqu’à cet été
- Des prix immobiliers dont la hausse se poursuit
- Les disparités de prix moyens au sein de la région IDF
- Le bon conseil pour votre achat immobilier :
Alors que 29 % des Français ont déclaré avoir un projet immobilier dans les deux ans selon le sondage réalisé par Le Figaro avec l’IFOP ; le niveau des prix immobiliers dans les grandes villes constitue un réel frein pour de nombreux acquéreurs, et ce, malgré des taux immobiliers toujours plus bas !
Des taux de crédit immobilier qui enregistrent des records à la baisse
Les taux moyens s’établissent toujours à des niveaux exceptionnels environ 1,30% sur 15 ans, 1,50% sur 20 ans et 1,70% sur 25 ans.
Une heureuse nouvelle pour les emprunteurs, notamment pour les primo-accédants, ceux qui achètent un bien immobilier pour la première fois. Et même sur les durées les plus longues la tendance est à la baisse puisque le taux moyen sur 25 ans était précédemment de 1,80%...
Les taux immobiliers devraient rester bas au moins jusqu’à cet été
Le bon conseil : comparez les banques !
Vous souhaitez acheter un bien immobilier en souscrivant un prêt immobilier. N'hésitez pas à contacter votre banque dans un premier temps pour connaître ses conditions puis comparez son offre avec celles d'autres banques en faisant appel à votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE, courtier en crédit immobilier. Cette étape vous permettra de choisir l'offre de prêt au meilleur taux et aux meilleures conditions.
Des prix immobiliers dont la hausse se poursuit
En 2018, la hausse des prix de l’immobilier a atteint +2 ,7% dans l’ancien en France (appartement et maison) selon la FNAIM avec un prix moyen de 2 620 euros/m².
Loin, très loin, de la moyenne observée à Paris qui se rapproche toujours plus dangereusement des 10 000 euros/m².
Les disparités de prix moyens au sein de la région IDF
Selon la Fédération Nationale de l’Immobilier, les prix en Île-de-France ont connu une hausse de +4,1% l’année dernière pour s’élever à 4 450 euros/m². Et cette moyenne, bien au-dessus de la moyenne française, masque d’importantes disparités franciliennes.
Découvrez le classement des villes les plus chères d’IDF, département par département, selon les prix relevés par les Notaires du Grand Paris au 4ème trimestre 2018.
Immobilier : les communes les plus chères du 92
- Neuilly-sur-Seine : 9 630 euros/m²
- Levallois-Perret : 8 670 euros/m²
- Boulogne-Billancourt : 8 100 euros/m²
Annonces immobilières : les villes les plus chères du 94
- Saint-Mandé : 8 270 euros/m²
- Vincennes : 8 210 euros/m²
- Charenton-le-Pont : 7 300 euros/m²
Biens immobiliers : les villes les plus chères dans le 93
- Les Lillas : 5 830 euros/m²
- Le Pré-Saint-Gervais : 5 430 euros/m²
- Montreuil : 5 300 euros/m²
Les villes les plus chères du 78 pour l’immobilier
- Versailles : 6 070 euros/m²
- Le Vésinet : 5 020 euros/m²
- Croissy-sur-Seine : 4 870 euros/m²
Les villes les plus chères du 91 pour acheter un logement
- Orsay : 4 230 euros/m²
- Verrières-le-Buisson : 3 740 euros/m²
- Wissous : 3 710 euros/m²
Marché immobilier : les villes les plus chères du 95
- Enghien-les-Bains : 4 880 euros/m²
- Montmorency : 3 490 euros/m²
- Cormeilles-en-Parisis : 3 470 euros/m²
Se loger : les villes les plus chères du 77
- Serris : 4 300 euros/m²
- Magny-le-Hongre : 3 920 euros/m²
- Montévrain : 3 800 euros/m²
Si vous vous demandez quelle est la ville la moins chère dans votre département, nous avons la réponse. Et c’est en Essonne qu'elle se trouve. Il s'agit de Grigny avec 1 140 euros/m².
Dans les autres départements, les moins chères sont :
- Le Mée-sur-Seine en Seine-et-Marne (1 500 euros/m²),
- Les Mureaux dans les Yvelines (1 640 euros/m²),
- Clichy-sous-Bois en Seine-Saint-Denis (1 750 euros/m²),
- Sarcelles dans le Val-d’Oise (1 830 euros/m²),
- Orly dans le Val-de-Marne (2 200 euros/m²)
- Gennevilliers dans les Hauts-de-Seine (3 730 euros/m²).
L’éloignement avec la Capitale et le cadre de vie peuvent expliquer les différences de prix entre ces différentes zones géographiques. Reste à trouver la perle rare qui rentrera dans votre budget immobilier.
Le bon conseil pour votre achat immobilier :
N’hésitez pas à visiter plusieurs fois le bien immobilier qui vous a tapé dans l’œil avant de faire votre offre d’achat en vérifiant toutes les pièces du logement mais aussi les parties communes s’il s’agit d’un bien en copropriété.
Dans tous les cas, contactez votre conseiller AVENIR & SERENITE PATRIMOINE !
Dons manuels aux enfants et petits-enfants : gare aux conséquences liquidatives
Le 20/03/2019
(Cass. 1re civ., 6 mars 2019, n° 18-13.236)
Francis et Yvonne avaient trois enfants : Yvon, Annick, et Gérard.
En 2010, ils avaient consenti des dons manuels :
- De 58.000 € à Yvon, leur fils ;
- De 58.000 € à Annick, leur fille ;
- De 29.000 € à chacun des deux enfants de leur troisième enfant, Gérard.
Francis et Yvonne sont décédés respectivement en 2013 et 2014 et un litige est né dans la fratrie concernant la liquidation successorale.
Yvon et Annick demandaient à leur frère, Gérard, le rapport successoral des donations faites à leurs neveu et nièce, arguant de la volonté supposée de leurs père et mère de maintenir une stricte égalité entre les trois enfants. Pour étayer leur demande, ils produisent de simples copies de testaments de leurs parents dont les originaux n’ont jamais été retrouvés.
Leur demande est accueillie en Cour d’appel mais l’arrêt est cassé au visa de l’article 847 du Code civil : « Qu’en statuant ainsi, alors qu’elle avait constaté que les défunts avaient gratifié le fils et la fille de M. M… C… , la cour d’appel a violé le texte susvisé ; »
La censure était inévitable. Si les époux ont peut-être pensé transmettre de manière égalitaire entre les trois « souches », il s’avère que donner aux deux premiers enfants, d’une part, et aux petits-enfants du troisième, d’autre part, n’emporte absolument pas les mêmes conséquences dans le cadre du règlement successoral. La donation faite aux enfants est présumée en avance de part successorale, soit rapportable ; tandis que la donation faite à un petit-enfant dont l’auteur est toujours en vie est présumée faite hors part successorale. Le petit-enfant n’est pas un présomptif héritier au moment de la donation, alors il ne sera pas tenu au rapport de ce qu’il a reçu dans la succession du grand-parent.
Faire un don manuel ne dispense pas des conseils d’un professionnel !
Votre conseiler AVENIR & SERENITE PATRIMOINE est diplômé Notaire. N'attendez pas pour prendre rendez-vous pour un bilan transmission au 09 81 48 61 15 ou par mail.
Les Français, pessimistes sur leur retraite, s'en remettent à l'Etat !
Le 19/03/2019
De deux choses l'une : soit les personnes qui franchissent le seuil du mon cabinet ne sont pas des français... (mmm... ???), soit les français que je vois ne sont pas représentatifs !
Une chose est sûre : IL VA PEUT-ETRE FALLOIR ARRÊTER DE RÊVER !
Selon un sondage réalisé en novembre 2018 par Ipsos pour la banque ING, les Français font partie des Européens les plus pessimistes sur leur niveau de vie, une fois l'âge de la retraite atteint. Mais ils continuent de penser que c'est à l'Etat providence d'assurer prioritairement leurs pensions.
Deux Français sur trois craignent de manquer d'argent à la retraite. Ce ne sont pas les Européens les plus pessimistes, mais presque. Les Espagnols sont encore plus angoissés (69%), alors que les Néerlandais ne sont que 40% à craindre pour leur niveau de vie, une fois la retraite arrivée. Ces résultats sont le fruit d'un sondage réalisé en novembre 2018 par Ipsos pour la banque ING, dans 15 pays auprès d'un millier de personnes dans chacun de ces pays.
Le pessimisme français se retrouve également dans l'écart entre la perception du niveau de vie des retraités actuels et l'anticipation des futurs retraités. C'est en France que cet écart est le plus élevé de l'échantillon : 69% des retraités d'aujourd'hui déclarent ne pas avoir perdu en niveau de vie en partant à la retraite, mais 48% des futurs retraités pensent que leur niveau de vie baissera. Soit 21 points d'écart, contre par exemple 16 en Espagne, ou 13 en Allemagne. En même temps, c'est en France que les retraités actuels estiment avoir le moins perdu en niveau de vie. On retrouve dans ces chiffres la réalité de la situation jusqu'à présent relativement enviable des retraités français, et les conséquences des réformes successives qui ont convaincu les moins âgés que le niveau des pensions ne pas va pas aller en s'améliorant.
Autre spécificité nationale : quand on leur demande quelle part de responsabilité les individus devraient supporter dans la constitution de leur retraite, les Français sont ceux qui leur donnent le moins de poids (23%), avec les Italiens. Ils estiment que cette responsabilité incombe à l'Etat à hauteur de 43%, et aux employeurs à hauteur de 22%. A l'opposé, aux Etats-Unis par exemple, la proportion est renversée : les Américains font porter 46% de la responsabilité de la préparation de leur retraite aux individus, et 22% à l'Etat.
Tout ça, bien sûr, pour en arriver à l'épineuse question de l'épargne retraite. L'étude indique qu'en Europe, 48% des sondés déclarent épargner pour leur retraite. Mais ils sont aussi 27% à ne pas voir du tout mis d'argent de côté, et pour ceux qui ont constitué une épargne, dans 4 cas sur 10, elle ne dépasse pas trois mois de salaire net.
Alors pour tous ceux qui n'ont pas encore franchi le seuil de mon cabinet : il faut vous en préoccuper, pas demain, maintenant ! Si vous ne "pouvez rien économiser", investissez dans les mouchoirs....!